Amour

Les réverbères : arts vivants

La cruauté est le remède de l’orgueil blessé

Nous avions quitté Jean Liermier magnifiant Molière l’automne passé, nous le retrouvons sublimant Alfred de Musset en ce presque printemps. Sa nouvelle mise en scène, soutenue par d’irrésistibles performances d’acteurs, offre une lecture légère et profonde du drame romantique intemporel qui se joue dans On ne badine pas avec l’amour. Un grand bonheur à vivre jusqu’au 26 mars au Théâtre de Carouge.

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La plume : critiqueLa plume : littérature

Un drame peut en cacher d’autres…

« Mais cette fois, la canne a glissé et il n’arrive pas à en saisir l’extrémité en position accroupie. Alors il se couche sur le bloc, tend son bras et parvient sans trop de peine à attraper le bout souple de la canne. Il se relève vivement, tout fier. Mais le moulinet reste accroché dans une fissure. Surpris, le gamin est déséquilibré. Il fait un pas en arrière pour tenter de reprendre pied. »

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Les réverbères : arts vivants

Je voudrais vous parler de Grouchenka

La Comédie de Genève a accueilli pour trois représentations exceptionnelles Les Frères Karamazov, un spectacle vertigineux à l’humour résilient. Une adaptation moderne, virevoltante et remarquable du dernier roman de l’immense écrivain russe Dostoïevski adapté et mis en scène avec originalité, intelligence et subtilité. Un grand moment de théâtre dont on ne ressort pas indemne.

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Les réverbères : arts vivants

Rire franchement, rire jaune ou ne pas rire du tout avec le nouveau Feydeau ? Un peu des trois.

Au POCHE/GVE, jusqu’en février, on vous présente une pièce au titre interminable, comme autant de tiroirs à ouvrir : Une oreille nue à la patte de l’amour ou comment filer une puce malgré soi, de Rebecca Kricheldorf, inspirée par l’œuvre de Feydeau. Un spectacle pour rire. Ou s’indigner. Au choix. Jusqu’en février 23 !

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