Geste : Se mouvoir…comme une ballerine
Aujourd’hui, c’est Céline Moioli qui prend la plume. Elle vous plonge dans la description… d’un geste, qui résonne dans son imaginaire. Bonne lecture !
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Read More« Si les Vaudois ne sont pas prêts pour l’indépendance, ma mort servira notre cause. Et vous, les enfants, vous verrez un jour un Pays de Vaud libre au sein de la Confédération suisse. » (p. 78) Un nouveau roman historique jeunesse, signé Olivier May.
Read More« Je ne suis pas douée pour écrire l’apaisement. Mon vocabulaire contient surtout des mots pour décrire des traumatismes, des miracles, des résurrections ou des catastrophes. Je manque de ressources pour parler en douceur, en langueur, en mots paisibles. » (p. 40)
Read MoreAujourd’hui, c’est Benoît Aubry qui s’amuse avec les mots… pour en donner des définitions aussi personnelles que poétiques. Merci à lui ! Et bonne lecture !
Read More« Payer par chèque n’est pas l’idéal lorsqu’on est recherchée, mais il y a sans doute un délai avant que cela sonne l’alerte, alors elle a décidé de faire d’énormes courses pour ne plus avoir à sortir après. Le bonnet et les lunettes noires, c’est au cas où sa photo serait diffusée. »
Read More« L’espace vital est minuscule et nous devons le partager avec nos ordinateurs, nos systèmes de communication, nos bonbonnes d’oxygène pour ne pas mourir asphyxiés en haute altitude, des habits chauds parce que la température peut descendre à –20o degrés Celsius, de la nourriture pour quatre jours, des sacs de couchage et des sacoches de sable pour piloter l’engin. »
Read More« — Toutes les histoires méritent d’être racontées.
— Vous avez déjà lu l’histoire d’une paysanne qui devient une légende ?
— Toutes les histoires ne se terminent pas dans les livres : ça ne veut pas dire que ça n’existe pas ».
« Le Sacramento était un des plus violents établissements du genre. D’aucuns disaient qu’il s’agissait d’un véritable centre de formation au crime, et plusieurs manifestations de riverains avaient demandé sa fermeture au cours des deux dernières années. »
Read More« Je suis moi par habitude, comme une salle d’auberge vide qui se souvient de ses hôtes absents, comme un carrefour abandonné. La pluie va venir. »
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