by Bertrand Tappolet | 1 décembre 2025 | Le banc : cinéma | 0 Comments
Il y a, dans Gaza Stories d’Iyad Alasttal et Put Your Soul on Your Hand and Walk de Sepideh Farsi, une même certitude : le cinéma ne rend pas justice à un territoire brisé, mais il peut arracher au néant ce qui risquerait d’y tomber. Une archive vivante, en temps réel, de ce qui fait société et humanité.