Dérive familiale dans La Chambre noire
« Écoute-moi bien, maman (elle appuya sur les deux syllabes). J’espère que tu as joui de cette ultime correction. Je t’avertis : si une fois encore tu t’avises de nous toucher, de nous gifler ou de tenter de nous battre, je te casserai une main, un bras, le dos, on appelle ça de la légitime défense. Je ne me répéterai plus. » (p. 124)
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