À clown triste, écriture blanche
« Être clown m’avait démoli. Moralement surtout. Les rires me renvoyaient à tout le dérisoire, joué ou non, simulé ou vécu qui était le mien ; bientôt je n’ai plus pu les supporter alors qu’ils étaient le but même et la récompense suprême de mon travail. Je devenais fou. »
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