Cohen

Les réverbères : arts vivants

Quand l’égoïsme mène à L’Éloignement

La Compagnie Confiture ouvre sa saison au Théâtre de l’Espérance avec L’Éloignement. Si cette pièce, écrite en 1987 par Loleh Bellon, a valu à son autrice un Molière, elle n’a aujourd’hui pas pris une ride, bien que la réflexion qu’elle induit soit différente.

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Les réverbères : arts vivants

Confiture s’étale pour la 28ème fois !

La Cie Confiture a presque tout fait en matière de théâtre : improvisation, détournement, utilisation de la vidéo, vaudeville sur toutes les thématiques imaginables… Et pourtant, Gaspard Boesch et Philippe Cohen en ont encore sous le pied au moment d’entamer leur 28ème saison !

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Le banc : cinéma

Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu : moins mauvais qu’on ne le pensait ?

Après avoir entendu beaucoup de critiques négatives sur le dernier Astérix, réalisé par Guillaume Canet (navet, flop, gros budget pour un tout petit résultat…), difficile de ne pas avoir d’a priori avant de le visionner.

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Les réverbères : arts vivants

Greenwasher… jusqu’à quel point ?

Greenwashing, voilà un terme à la mode. C’est justement l’une des thématiques de Titanic, un spectacle de Riccard et Lambelet, en forme de farce climatique, à voir jusqu’au 11 mars à la salle centrale de la Madeleine.

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Les réverbères : arts vivants

Forcer le trait pour réfléchir

Pour ouvrir sa 27ème saison, la Cie Confiture proposer un remake de sa pièce politiquement incorrecte Le Requérant, de Philippe Cohen. Un nouveau casting et quelques ajustements par rapport à l’original, pour faire rire et réfléchir sur notre rapport à l’autre.

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Les réverbères : arts vivants

27ème saison pour la Cie Confiture : un bon présage ?

27 : un âge de tous les dangers ! Pour ne pas entrer dans le club très select des 27 ans, la Cie Confiture s’est donné un mot d’ordre : survivre. Nous avons eu l’occasion de rencontrer Gaspard Boesch et Philippe Cohen pour discuter plus avant du programme prometteur qui arrive.

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La plume : critiqueLa plume : littérature

Portraits de femmes, avec Mélanie Chappuis

« Elles s’étaient promis un voyage pour se donner du courage. Elles allaient parler de leur amour à leurs parents, le même soir, à la même heure, pour être ensemble, chacune face à sa famille, Papa, maman, je suis amoureuse. La personne que j’aime est une femme, elle s’appelle Chiara, elle s’appelle Mary, soyez heureux pour moi, je le serai doublement si vous partager mon bonheur… » (p. 121)

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