L’enfant de Mers el-Kébir : l’enfance, le port, la vie
Aujourd’hui, Anaïs Rouget vous fait voyager en Algérie, entre grande Histoire et histoire intime : un récit touchant, avec L’enfant de Mers el-Kébir de Sophie Colliex.
Lire la suiteAujourd’hui, Anaïs Rouget vous fait voyager en Algérie, entre grande Histoire et histoire intime : un récit touchant, avec L’enfant de Mers el-Kébir de Sophie Colliex.
Lire la suiteLes étudiants de l’atelier d’écriture du BA7 de français moderne de l’Université de Genève s’attellent à l’exercice de la critique. Aujourd’hui, Clémence Briziou nous emmène à Manhattan avec un homme en quête de réponses, tandis que Linda Mancesti revient sur une lettre adressée à un ancien dictateur en Roumanie…
Lire la suiteLes étudiants de l’atelier d’écriture du BA7 de français moderne de l’Université de Genève s’attellent à l’exercice de la critique. Aujourd’hui, Morgane Peter redonne la parole aux animaux victimes de spécisme, tant que Léa Pfister nous accompagne dans la quête d’un homme entre l’Écosse et la Suisse…
Lire la suiteLes étudiants de l’atelier d’écriture du BA7 de français moderne de l’Université de Genève s’attellent à l’exercice de la critique. Ce matin, deux nouveaux ouvrages vous sont présentés, où le rapport entre réalité et fiction tient un rôle prépondérant. Avec Tifène Douadi, partez à la recherche d’un être disparu, avant de suivre Camille Vervoux dans les violences faites aux femmes et les extrémités auxquelles elles peuvent conduire…
Lire la suiteLes étudiants de l’atelier d’écriture du BA7 de français moderne de l’Université de Genève s’attellent à l’exercice de la critique. Ce matin, deux nouveaux ouvrages vous sont présentés, avec l’eau au centre de l’attention : il sera question de noyade avec Samia Rouijel, et d’une ville portuaire algérienne avec Eric Senger.
Lire la suite« J’ai fait un effort pour cacher ma gêne. Pourquoi avais-je aussi souvent envie de pleurer ? J’aurais tellement aimé pouvoir dire un merci joyeux à cette femme et m’en aller content. Non, j’étais au bord des larmes, pitoyable. Je me jugeais d’une faiblesse extrême. »
Lire la suite« Être clown m’avait démoli. Moralement surtout. Les rires me renvoyaient à tout le dérisoire, joué ou non, simulé ou vécu qui était le mien ; bientôt je n’ai plus pu les supporter alors qu’ils étaient le but même et la récompense suprême de mon travail. Je devenais fou. »
Lire la suite« C’est difficile de grandir. De quitter la forêt miraculeuse de l’enfance pour s’enfoncer dans le pèlerinage de l’existence. À treize ans, on trouve ça presque impossible. Sur mon vélo, je retrouve quelque chose de cette enfance que je quitte à regret, l’insouciance, et plus loin l’audace, cette irrévérence des enfants face aux averses, à l’intensité de leurs tourments. »
Lire la suite« Imre ne mangeait plus d’orange depuis qu’il n’en obtenait qu’une ou deux à Noël chaque année, et encore fallait-il jouer de ses contacts auprès de ses chefs de rayon. Avant, ils en avaient des corbeilles entières pendant toute l’année. “Une seule orange, c’est pire que pas d’oranges !”»
Lire la suite« Sur un porte-conteneurs, les marins ne sont pas seulement des vigiles de la mer, du fret, de la carcasse du cargo […]: ils sont avant tout des sentinelles du temps […]. Au large, la notion du temps est une équation à blanc ; l’heure qu’indique les montres d’un navire marchand est une heure presque constamment artificielle »
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