Auteur : La Pépinière

La plume : créationLa plume : littérature

Éditions Nouveau Monde : « Oberour ar maro » (Chris B. Honspacq) (partie 1)

Lectrice invétérée, Chris B. Honspacq a commencé à poser des mots sur le papier vers l’âge de douze ans. Ce n’est que bien plus tard qu’elle a décidé de partager ses écrits. Et c’est désormais à dos de dragon qu’elle parcourt les plaines de Seine-et-Marne, le pieu à la main qu’elle sillonne les rues la nuit, quand elle ne court pas à travers bois au milieu des créatures de toutes sortes…

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Le banc : cinéma

“Kapr Code” – Quand le cinéma discute avec la musique

Jan Kapr, compositeur tchèque décédé en 1988 a produit plus de 180 œuvres ainsi que des centaines d’heures de film amateur. La réalisatrice Lucie Králová  utilise ce matériel pour nous livrer Kapr Code ; un opéra documentaire, une conversation visuelle et auditive, entre images d’archives et récentes, mélangeant les compositions de Kapr avec des mots écrits aujourd’hui et chantés par un chœur tchèque. Une rétrospective atypique de l’œuvre de cet homme, de sa vie, et en fond, l’histoire de la Tchécoslovaquie.

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La plume : BA7La plume : créationLa plume : littérature

Du début à la fin : Le coursier, le policier et le poulpe

Aujourd’hui, Lorie Raimondi vous propose de rencontrer trois personnages pour le moins très… différents. Elle vous livre un texte régi par le hasard : les phrases initiales et finales sont tirées de romans connus et moins connus, certains connecteurs logiques et thèmes ont été choisis par des lancés de dés… un vrai défi ! Bonne lecture !

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La plume : BA7La plume : critiqueLa plume : littérature

La patience du serpent (Anne Brécart) : Malaise dans la civilisation

« La peau de Christelle se recouvrait d’une fine couche de transpiration, pendant que le chamane entamait une mélopée, puis chacun remerciait la terre nourricière pour le maïs, les fruits et les légumes qu’elle leur offrait. Lorsque la chaleur devenait intenable, une des quatre portes était ouverte, l’air de la nuit paraissait incroyablement frais à Christelle qui le buvait comme si c’était de l’eau. » (p. 70)

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